Pour naviguer, faites glisser votre doigt ou utilisez votre
Alors que l’été des festivals touche tout doucement à sa fin, l’un de nos photographes, Mathieu Golinvaux, a arpenté une bonne partie d’entre eux ces dernières semaines. La Belgique est une véritable de terre de festivals musicaux, impossible de les découvrir tous, mais il a sélectionné ses meilleurs clichés de l’été.
En Belgique, on a pris l’habitude de dire que ce sont les Nuits du Botanique à Bruxelles qui lancent l’été des festivals… au printemps. L’occasion cette année de découvrir Lysistrata, la nouvelle sensation forte du rock français.
Chaque année, à côté des festivals traditionnels, la Belgique a droit à son lot de concert en stade. Cet été, Robert Trujillo et Metallica ont ouvert les festivités du côté du stade Roi Baudouin.
Début juillet, Rock Werchter est l’un des festivals de l’été les plus attendus. Pendant quatre jours, la plaine flamande accueille toutes les têtes d’affiche du moment ou presque. On s’est notamment laissé envoûter par la musique d’Ólafur Arnalds.
Mais en ce premier jour de Werchter, c’est évidemment P!nk que tout le monde attendait. Et l’Américaine a assuré le show avec un concert des plus visuel.
Outre les concerts, le soleil a souvent été l’un des invités de marque de cet été des festivals. À chacun son truc (et sa couche de crème solaire) pour éviter les coups de soleil.
Les Californiens de Weezer n’avaient plus posé leurs guitares en terre flamande depuis 2001. S’ils n’ont pas livré le concert du siècle (au contraire même), les fans étaient plutôt contents de retrouver la bande à Rivers Cuomo.
Robert Smith et les Cure ont, eux, livré le concert parfait, selon tous les spécialistes. Certains écriront même qu’ils ont fait la leçon à tous les gugusses qui ont joué avant.
Décidément, ce Werchter 2019 était celui des retours. Après une très longue hibernation (douze ans !), Tool a ressorti l’artillerie lourde pour clôturer cette seconde journée.
Angèle a, une fois encore, eu droit à un été des festivals des plus chargé. On a notamment aperçu la Bruxelloise aux Francofolies et aux Solidarités, mais la sœur de Roméo Elvis avait commencé l’été en mettant la plaine flamande à ses pieds.
Dans un style bien différent, Florence and The Machine a, elle aussi, séduit tout le monde. Impossible de ne pas tomber sous le charme.
Damon Albarn est décidément partout. Quand il ne tourne pas avec Blur, Gorillaz ou son projet solo, l’Anglais tient le micro dans The Good the Bad and The Queen. Un projet moins connu, mais l’un des concerts de l’été 2019.
Habitués de Rock Werchter, les Mumford & Sons ont assuré le travail et fait danser la plaine comme ils en ont l’habitude.
Et c’est Muse qui a clôturé une nouvelle édition du festival flamand sous un soleil de plomb.
On file aux Ardentes à Liège pour un festival qui assume désormais totalement son virage urbain et qui ne laisse plus (ou vraiment presque plus) la place aux autres styles musicaux. Les rappeurs (ici Pusha T) ont pris le pouvoir pour cette ultime édition en bord de Meuse.
Comme sa sœur Angèle, Roméo Elvis a, lui aussi, à chaque fois fait le plein cet été. À Liège, le rappeur bruxellois n’a pas manqué de faire parler de lui en enfilant un maillot du… Standard de Liège.
Les Black Eyed Peas étaient eux de retour en Belgique. Désormais sans Fergie, will.i.am et compagnie ont déroulé la machine à tubes sur la grande scène liégeoise.
Après Metallica en juin, c’est Rammstein qui s’offrait ensuite le stade Roi Baudouin. Et les Allemands ont mis, au propre comme au figuré, le feu à l’antre des Diables rouges. Logique nous direz-vous.
Année après année, le festival de Dour mise, lui, sur une affiche éclectique et qui fait la part belle aux découvertes. Mais le festival ouvre également sa grande scène à quelques gros noms. Orelsan était notamment de passage par la Belgique une première fois cet été.
Plutôt discret ses derniers temps, Damso proposait à Dour son seul concert belge de l’été. Et le rappeur bruxellois a plutôt bien maîtrisé son sujet.
Il n’y a pas à Dour que des rappeurs et des grands noms. On a aussi croisé quelques guitares, même si elles étaient assez discrètes à l’affiche cette année. Ici, les Liégeois d’It It Anita qui ont livré un concert explosif.
Roméo Elvis était aussi de passage à Dour en juillet. Et on a rarement vu autant de monde au pied de la Last Arena, la plus grande scène du festival. Le fils de Marka était bien le roi des festivals cet été.
En plein milieu de l’été, impossible de passer à côté de Tomorrowland qui est sans aucun doute le festival belge le plus connu aux quatre coins du globe. Et c’est d’abord son incroyable univers qui nous pousse à revenir chaque année.
Plus familial, le festival de Ronquières a également fait le plein et battu un nouveau record cet été. Typh Barrow a passé un incroyable moment avec ses fans.
Même s’il ne jouait pas spécialement face à un public acquis à sa cause, le rappeur français Lomepal a pourtant livré une des bonnes prestations de cette édition.
À Ronquières, le plan incliné permet de prendre un peu de hauteur pour se rendre compte qu’il y avait vraiment beaucoup de monde cette année.
Pour sa deuxième journée de festivités, les programmateurs avaient notamment confié les clés de la scène bâbord à Clara Luciani et l’artiste française nous a envoûtés une première fois cet été.
Dans un style très différent, Eddy De Pretto a ensuite pris les commandes à Tribord. Le public a semblé convaincu.
Mais à Ronquières cet été, une bonne partie du public attendait avec impatience Bigflo & Oli, la véritable tête d’affiche de ce festival. Les deux jeunes rappeurs ont emmené leurs fans, dont de nombreux enfants, au cœur de leur monde.
On a ensuite filé du côté de Bruxelles, pour le traditionnel BSF qui anime le centre de la capitale pendant cinq jours désormais. L’occasion de croiser Caballero et Jeanjass, un autre visage de la scène rap belge.
Après s’être plus fait remarquer pour ses polémiques que sur scène, Booba a pu démontrer à Bruxelles qu’il restait, lui, une des figures de proue du rap français. Mais le Duc n’a pas vraiment convaincu.
Pas le temps de traîner sur la place des Palais que le Pukkelpop était déjà annoncé. À côté de la polémique sur les drapeaux flamingants, le festival a surtout proposé des centaines de concerts, dont les habitués de Franz Ferdinand.
L’invité spécial de cette édition sur la plaine de Kiewit, c’était évidemment The National. Pour fêter ses vingt ans de carrière, le groupe américain a pu se produire deux fois.
La fanfare allemande de Meute, qui reprend des tubes technos, a également offert deux concerts à ses fans. Un premier, surprise, dans le coin Foodtrucks, puis un second, attendu cette fois, sur la scène du Dance Hall.
Sur la main stage, Royal Blood n’a pas eu peur de se mouiller malgré la pluie.
Alors que la Flandre adore leur musique, les Liégeois de Cocaïne Pis ont, eux, offert une prestation bourrée d’énergie, mais ce n’est plus vraiment une surprise.
De retour après sept années d’absence, Mike Skinner et les Streets avaient livré une prestation dont les murs de l’AB à Bruxelles se souviennent encore. Le rappeur anglais en a encore fait beaucoup à Kiewit, sans doute trop, mais difficile de le lui reprocher.
Et c’est Tame Impala qui avait la tâche de clôturer cette seconde journée de festival, sous la pluie également. De quoi proposer un visuel étonnant.
En 2019, les fans ne semblent plus savoir se passer de leur téléphone, même en concert. Si certains artistes commencent à les interdire, les smartphones étaient encore présent en nombre cet été.
Plutôt étonnant, le Pukkelpop avait programmé une tête d’affiche à 15h sur sa main stage. C’est que Billie Eilish n’était pas encore très connue à l’heure d’établir les programmes. Mais face à plus de 47 000 personnes, la jeune américaine n’a pas tremblé.
Batteur et chanteur, Anderson .Paak est, lui, un habitué des scènes principales et le gaillard a fait danser la plaine.
Et après avoir retourné la plaine de Werchter l’été dernier, le super band Prophet of Rage était de retour en Belgique cet été. Tom Morello and Co ont secoué Kiewit avec leur rap métal.
À côté des grosses machines que sont Werchter, Tomorrowland ou encore le Pukkelpop, il existe une multitude de petits festivals qui n’ont pas à rougir comme le Micro festival, le Métal Méan, la Carrière ou ici le Hide & Seek.
Chaque année le Hide & Seek propose des concerts de musique du monde dans des lieux insolites. Un ancien club échangiste (photo précédente) ou ici dans le centre de tri des Petits Riens.
Sur les hauteurs de Namur, le festival des Solidarités est l’un des derniers gros festivals de l’été. Avec son affiche grand public, c’était notamment l’occasion de recroiser Axelle Red.
Ou de découvrir le projet solo de Gaëtan Roussel, le chanteur de Louise Attaque, qui a ravi les fans en reprenant deux tubes de son premier groupe.
Cette année, le festival namurois avait ajouté une troisième journée à son affiche. C’est Pascal Obispo et son drôle de costume qui ont clôturé celle-ci.
Mais pour cette édition, les deux véritables stars du festival étaient Angèle et Aya Nakamura, les deux jeunes artistes ont attiré la grande foule.
La citadelle de Namur a fait le plein tout au long du week-end et le festival a battu un nouveau record de fréquentation.
Il n’y a plus d’âge pour aller en festival. Comme à Ronquières, les enfants étaient très nombreux à être présents. Selon les organisateurs, ils étaient 15 000.
Déjà présente à l’affiche de Ronquières, c’est Clara Luciani qui a clôturé tout en douceur le festival namurois et notre saison des festivals de l’été.
Nos 50 plus belles photos des festivals de l’été
Pour naviguer, faites glisser votre doigt
Alors que l’été des festivals touche tout doucement à sa fin, l’un de nos photographes, Mathieu Golinvaux, a arpenté une bonne partie d’entre eux ces dernières semaines. La Belgique est une véritable de terre de festivals musicaux, impossible de les découvrir tous, mais il a sélectionné ses meilleurs clichés de l’été.
En Belgique, on a pris l’habitude de dire que ce sont les Nuits du Botanique à Bruxelles qui lancent l’été des festivals… au printemps. L’occasion cette année de découvrir Lysistrata, la nouvelle sensation forte du rock français.
Chaque année, à côté des festivals traditionnels, la Belgique a droit à son lot de concert en stade. Cet été, Robert Trujillo et Metallica ont ouvert les festivités du côté du stade Roi Baudouin.
Début juillet, Rock Werchter est l’un des festivals de l’été les plus attendus. Pendant quatre jours, la plaine flamande accueille toutes les têtes d’affiche du moment ou presque. On s’est notamment laissé envoûter par la musique d’Ólafur Arnalds.
Mais en ce premier jour de Werchter, c’est évidemment P!nk que tout le monde attendait. Et l’Américaine a assuré le show avec un concert des plus visuel.
Outre les concerts, le soleil a souvent été l’un des invités de marque de cet été des festivals. À chacun son truc (et sa couche de crème solaire) pour éviter les coups de soleil.
Les Californiens de Weezer n’avaient plus posé leurs guitares en terre flamande depuis 2001. S’ils n’ont pas livré le concert du siècle (au contraire même), les fans étaient plutôt contents de retrouver la bande à Rivers Cuomo.
Robert Smith et les Cure ont, eux, livré le concert parfait, selon tous les spécialistes. Certains écriront même qu’ils ont fait la leçon à tous les gugusses qui ont joué avant.
Décidément, ce Werchter 2019 était celui des retours. Après une très longue hibernation (douze ans !), Tool a ressorti l’artillerie lourde pour clôturer cette seconde journée.
Angèle a, une fois encore, eu droit à un été des festivals des plus chargé. On a notamment aperçu la Bruxelloise aux Francofolies et aux Solidarités, mais la sœur de Roméo Elvis avait commencé l’été en mettant la plaine flamande à ses pieds.
Dans un style bien différent, Florence and The Machine a, elle aussi, séduit tout le monde. Impossible de ne pas tomber sous le charme.
Damon Albarn est décidément partout. Quand il ne tourne pas avec Blur, Gorillaz ou son projet solo, l’Anglais tient le micro dans The Good the Bad and The Queen. Un projet moins connu, mais l’un des concerts de l’été 2019.
Habitués de Rock Werchter, les Mumford & Sons ont assuré le travail et fait danser la plaine comme ils en ont l’habitude.
Et c’est Muse qui a clôturé une nouvelle édition du festival flamand sous un soleil de plomb.
On file aux Ardentes à Liège pour un festival qui assume désormais totalement son virage urbain et qui ne laisse plus (ou vraiment presque plus) la place aux autres styles musicaux. Les rappeurs (ici Pusha T) ont pris le pouvoir pour cette ultime édition en bord de Meuse.
Comme sa sœur Angèle, Roméo Elvis a, lui aussi, à chaque fois fait le plein cet été. À Liège, le rappeur bruxellois n’a pas manqué de faire parler de lui en enfilant un maillot du… Standard de Liège.
Les Black Eyed Peas étaient eux de retour en Belgique. Désormais sans Fergie, will.i.am et compagnie ont déroulé la machine à tubes sur la grande scène liégeoise.
Après Metallica en juin, c’est Rammstein qui s’offrait ensuite le stade Roi Baudouin. Et les Allemands ont mis, au propre comme au figuré, le feu à l’antre des Diables rouges. Logique nous direz-vous.
Année après année, le festival de Dour mise, lui, sur une affiche éclectique et qui fait la part belle aux découvertes. Mais le festival ouvre également sa grande scène à quelques gros noms. Orelsan était notamment de passage par la Belgique une première fois cet été.
Plutôt discret ses derniers temps, Damso proposait à Dour son seul concert belge de l’été. Et le rappeur bruxellois a plutôt bien maîtrisé son sujet.
Il n’y a pas à Dour que des rappeurs et des grands noms. On a aussi croisé quelques guitares, même si elles étaient assez discrètes à l’affiche cette année. Ici, les Liégeois d’It It Anita qui ont livré un concert explosif.
Roméo Elvis était aussi de passage à Dour en juillet. Et on a rarement vu autant de monde au pied de la Last Arena, la plus grande scène du festival. Le fils de Marka était bien le roi des festivals cet été.
En plein milieu de l’été, impossible de passer à côté de Tomorrowland qui est sans aucun doute le festival belge le plus connu aux quatre coins du globe. Et c’est d’abord son incroyable univers qui nous pousse à revenir chaque année.
Plus familial, le festival de Ronquières a également fait le plein et battu un nouveau record cet été. Typh Barrow a passé un incroyable moment avec ses fans.
Même s’il ne jouait pas spécialement face à un public acquis à sa cause, le rappeur français Lomepal a pourtant livré une des bonnes prestations de cette édition.
À Ronquières, le plan incliné permet de prendre un peu de hauteur pour se rendre compte qu’il y avait vraiment beaucoup de monde cette année.
Pour sa deuxième journée de festivités, les programmateurs avaient notamment confié les clés de la scène bâbord à Clara Luciani et l’artiste française nous a envoûtés une première fois cet été.
Dans un style très différent, Eddy De Pretto a ensuite pris les commandes à Tribord. Le public a semblé convaincu.
Mais à Ronquières cet été, une bonne partie du public attendait avec impatience Bigflo & Oli, la véritable tête d’affiche de ce festival. Les deux jeunes rappeurs ont emmené leurs fans, dont de nombreux enfants, au cœur de leur monde.
On a ensuite filé du côté de Bruxelles, pour le traditionnel BSF qui anime le centre de la capitale pendant cinq jours désormais. L’occasion de croiser Caballero et Jeanjass, un autre visage de la scène rap belge.
Après s’être plus fait remarquer pour ses polémiques que sur scène, Booba a pu démontrer à Bruxelles qu’il restait, lui, une des figures de proue du rap français. Mais le Duc n’a pas vraiment convaincu.
Pas le temps de traîner sur la place des Palais que le Pukkelpop était déjà annoncé. À côté de la polémique sur les drapeaux flamingants, le festival a surtout proposé des centaines de concerts, dont les habitués de Franz Ferdinand.
L’invité spécial de cette édition sur la plaine de Kiewit, c’était évidemment The National. Pour fêter ses vingt ans de carrière, le groupe américain a pu se produire deux fois.
La fanfare allemande de Meute, qui reprend des tubes technos, a également offert deux concerts à ses fans. Un premier, surprise, dans le coin Foodtrucks, puis un second, attendu cette fois, sur la scène du Dance Hall.
Sur la main stage, Royal Blood n’a pas eu peur de se mouiller malgré la pluie.
Alors que la Flandre adore leur musique, les Liégeois de Cocaïne Pis ont, eux, offert une prestation bourrée d’énergie, mais ce n’est plus vraiment une surprise.
De retour après sept années d’absence, Mike Skinner et les Streets avaient livré une prestation dont les murs de l’AB à Bruxelles se souviennent encore. Le rappeur anglais en a encore fait beaucoup à Kiewit, sans doute trop, mais difficile de le lui reprocher.
Et c’est Tame Impala qui avait la tâche de clôturer cette seconde journée de festival, sous la pluie également. De quoi proposer un visuel étonnant.
En 2019, les fans ne semblent plus savoir se passer de leur téléphone, même en concert. Si certains artistes commencent à les interdire, les smartphones étaient encore présent en nombre cet été.
Plutôt étonnant, le Pukkelpop avait programmé une tête d’affiche à 15h sur sa main stage. C’est que Billie Eilish n’était pas encore très connue à l’heure d’établir les programmes. Mais face à plus de 47 000 personnes, la jeune américaine n’a pas tremblé.
Batteur et chanteur, Anderson .Paak est, lui, un habitué des scènes principales et le gaillard a fait danser la plaine.
Et après avoir retourné la plaine de Werchter l’été dernier, le super band Prophet of Rage était de retour en Belgique cet été. Tom Morello and Co ont secoué Kiewit avec leur rap métal.
À côté des grosses machines que sont Werchter, Tomorrowland ou encore le Pukkelpop, il existe une multitude de petits festivals qui n’ont pas à rougir comme le Micro festival, le Métal Méan, la Carrière ou ici le Hide & Seek.
Chaque année le Hide & Seek propose des concerts de musique du monde dans des lieux insolites. Un ancien club échangiste (photo précédente) ou ici dans le centre de tri des Petits Riens.
Sur les hauteurs de Namur, le festival des Solidarités est l’un des derniers gros festivals de l’été. Avec son affiche grand public, c’était notamment l’occasion de recroiser Axelle Red.
Ou de découvrir le projet solo de Gaëtan Roussel, le chanteur de Louise Attaque, qui a ravi les fans en reprenant deux tubes de son premier groupe.
Cette année, le festival namurois avait ajouté une troisième journée à son affiche. C’est Pascal Obispo et son drôle de costume qui ont clôturé celle-ci.
Mais pour cette édition, les deux véritables stars du festival étaient Angèle et Aya Nakamura, les deux jeunes artistes ont attiré la grande foule.
La citadelle de Namur a fait le plein tout au long du week-end et le festival a battu un nouveau record de fréquentation.
Il n’y a plus d’âge pour aller en festival. Comme à Ronquières, les enfants étaient très nombreux à être présents. Selon les organisateurs, ils étaient 15 000.
Déjà présente à l’affiche de Ronquières, c’est Clara Luciani qui a clôturé tout en douceur le festival namurois et notre saison des festivals de l’été.