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L'Avenir
10 histoires judiciaires surprenantes évoquées en Wallonie en 20222024-01-11T10:24:39+01:00

10 histoires judiciaires surprenantes évoquées en Wallonie en 2022

Retour sur une sélection de 10 histoires judiciaires qui ont émaillé les prétoires lors d’audiences dans des tribunaux en Wallonie.

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Prêtre exorciste ou charlatan?

De 2012 à 2017, l’individu se présente comme un prêtre catholique romain exerçant à la Petite Église Apostolique Vieille Catholique. Il réalise des exorcismes contre paiements. "Les sommes n’étaient pas versées sur mon compte, mais celui de l’association de l’église. Je demandais des virements afin d’avoir des preuves. J’ai suivi des formations et séminaires pour l’exorcisme. On ne peut pas croire aux phénomènes paranormaux tant qu’on n’en a pas vécu."

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Un accouchement tourne au drame

Un gynécologue est poursuivi pour non-assistance à personne en danger suite au décès du bébé lors de la période précédant la césarienne.

"Depuis cet événement malheureux, je suis devenu papa d’une petite fille qui est née prématurément à la 28e semaine de grossesse. Avec le recul, je vous assure que je n’aurais rien changé à ce que j’ai fait ce jour-là. Mais, j’ai encore pris plus conscience des difficultés que représente la naissance des prématurés", s’est défendu le prévenu.

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Une dame de 91 ans poursuivie pour détention d'arme

Cette dame a connu la guerre. Elle vit seule dans une ferme à l’écart et cette arme est un moyen pour elle de se sentir en sécurité. Il n’y a pas d’âge pour répondre de ses actes devant la justice. Ce matin-là, une Bièvroise de 91 ans devait s’expliquer sur la détention illégale d’une arme de chasse.

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L’escroc aux tableaux a une vie de jet-setteur mais aussi a des menottes

Quatorze cartons, plus de 6 millions d’euros et une dizaine d’heures de plaidoiries prévues. Ces quelques chiffres témoignent de l’ampleur du dossier évoqué depuis 9 h, ce lundi-là, lors d’une audience extraordinaire. Ils sont trois à comparaître devant la justice, dont le principal prévenu au centre des accusations: David.

Ce dernier, courtier en assurances, a su gagner la confiance de ses nombreuses victimes par une méthode bien rodée. La plupart des personnes dupées étaient des clients, qui espéraient faire fructifier leur patrimoine financier via des placements. Mais David y a vu une aubaine et a proposé à ses victimes de racheter des œuvres d’art qui prendraient de la valeur au fil du temps.

Il se présentait ainsi comme un expert en œuvres d’art et persuadait les personnes âgées d’acheter un Dali (pour ne citer que lui) à des prix attractifs. En réalité, les œuvres n’avaient rien d’exceptionnel. Au final, le manège lui a rapporté plus de 6,4 millions d’euros à travers toute la Wallonie !

Mais en cette fin d’année, c’est une paire de menottes qu’il a surtout gagné.

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Guérilla rurale entre chasseurs

Entre l’abbaye d’Orval et Gérouville, dans l’entité communale de Meix-devant-Virton, à quelques centaines de mètres de la frontière franco-belge, le petit village de Limes est idéal pour la balade. Le promeneur ne se doute pas de la guerre que se livrent deux clans de chasseurs, une guérilla rurale digne du village de Brescello, rendu célèbre par Don Camillo et Peppone.

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Le gang des pistaches

Lorsque les policiers ont contrôlé ce véhicule immatriculé en France, garé sur le parking d’un magasin, ils ont trouvé un coffre plein à craquer, contenant principalement… des pistaches!

À bord de la Peugeot, trois Géorgiens âgés de 32 à 44 ans. Ils disent avoir acheté le tout au Lidl, mais ne peuvent fournir aucun ticket de caisse. Comme de fait, la marchandise a été volée.

D’autres vols de pistache sont survenus depuis lors en province de Luxembourg. Avec un modus operandi identique: des Géorgiens écument des supermarchés de la région pour y subtiliser des pistaches.

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Ils tuent et mangent des hérissons par tradition

Dans le langage des gitans, le hérisson a même droit à son petit nom : le niglo. C’est une mascotte, un symbole mais aussi… un plat traditionnel pour les gens du voyage.

Mais c’est aussi une coutume qui conduit cinq Famennois devant le tribunal correctionnel de Namur. Le hérisson est en effet une espèce protégée. Il est donc interdit de le détenir et, encore plus, de le tuer pour le manger.

C’est pourtant bel et bien du hérisson qui a été servi, pour ce repas festif, au cœur de l’été. Et certains convives ont même donné une visibilité plus grande encore à ce repas de tradition en prenant des photos et en les diffusant, avec une certaine fierté de perpétuer ainsi les traditions.

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Une comtesse devant le tribunal

Il est "voleur, menteur, harceleur", accuse Diana du Monceau à l’encontre de Saïd B. qu’elle aurait hébergé dans des conditions inhumaines.

On a entendu tout et son contraire à l’audience correctionnelle où la comtesse Diana du Monceau a comparu suite au jugement rendu le 1er mars dernier qui regrettait son absence à l’audience du 1er février et ordonnait sa comparution pour répondre de cinq préventions.

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Malvoyante, elle était tombée dans la Meuse avec son bébé

Un drame a failli survenir le 8 décembre 2019 vers 18 h 30 à Andenne. Marie (prénom d’emprunt), venait d’aller faire des courses avec son enfant de 3 ans. En raison de travaux, celle-ci a emprunté le quai en bord de Meuse, à savoir la piste Ravel, mal éclairée et non munie de garde-corps. Elle avait confié son GSM, qu’elle utilisait comme lampe de poche, à son enfant, pour qu’il regarde une vidéo. Reconnue handicapée en raison de problèmes de vue, elle a perdu ses repères et est tombée de près de 5 mètres dans la Meuse. Suite à la chute, elle et son enfant sont restés 20 minutes dans l’eau.
Elle s’est retrouvée au tribunal.

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Par vengeance, il sabote plusieurs tracteurs

Courant de l’année 2020, David (prénom d’emprunt) a occasionné bien des soucis à de nombreux agriculteurs qui refusaient de confier leurs terres à son fils. Comme revanche, le prévenu a introduit du sucre et des détergents dans le réservoir de leurs tracteurs.

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